Détails du programme

Les objectifs fixés par la Cop 21 et l’impact du zéro carbone pour 2050 constituent les lignes principales de notre programme. L’ensemble de nos champs d’activité sont traités de façon à diminuer l’empreinte carbone et favoriser la captation carbone. Le programme a fixé la plantation de 4 200 000 arbres par an en culture intercalaire en suivant le modèle de l’agriculture régénérative.

Le paulownia constitue l’espèce majeure de notre modèle. Le plant utilisé par GCI est non-invasif, garantit que nos productions agro-forestières n’ont aucun impact sur l’environnement, et constitue une efficacité hors norme en terme de captation carbone.  Le programme prévoit un modèle de construction en terre crue ou en bois pour les zones résidentielles. Le traitement des eaux usées est naturel ; GCI met en place un système d’épuration des eaux par lagunage.

L’hydrogène fait aussi partie de notre feuille de route parmi les autres solutions techniques déjà fixées dans le programme dont l’énergie solaire tient une grande source d’approvisionnement et intègre nos unités de désalinisation hybrides.

La constitution du Laboratoire de duplication in vitro GCI issu du transfert de technologie comprend aussi un laboratoire d’analyse eau et terres.

Ce transfert permettant à GCI une totale indépendance et une sécurité comprend l’ensemble des protocoles de transfert ; celle de notre espèce clé ainsi que d’autres espèces utiles à nos productions internes et des espèces endémiques aux pays recevant le projet.

GCI est autosuffisant et permet d’annuler les risques majeurs en terme de logistique, de risque de perte lié au transport ainsi que de démarches administratives lourdes pouvant freiner les projets.

Nous avons exclu pour notre programme agro-forestier toute extraction venant du sous-sol. Notre activité n’a donc aucun impact sur les aquifères ou nappes phréatiques afin de ne générer aucun déficit pour les régions qui reçoivent le projet.

Notre modèle, en fonction de sa destination, est basé essentiellement sur la désalinisation de l’eau de mer ou le traitement des eaux saumâtres. Notre programme met en place une feuille de route qui accuse une rentabilité suffisamment importante pour supporter le surcoût que génère une désalinisation plus écologique.

Le rendement faible choisi par GCI permet en contre-partie de ne pas polluer. Le programme conservera le même modèle quantitatif d’unité par unité de surface foncière agricole, même dans les cas où il n’est pas nécessaire. Ceci permettra une mise à disposition de notre outil de désalinisation au service des communautés rurales qui en ont besoin.

Notre programme est principalement basé sur la production de bois de paulownia. Une forêt constituée sur 5 ans de 5.250 hectares/an pour un total de 26 250 hectares. Nos plantations dans des zones déforestées ou en cours de désertification permettent de constituer du bois de construction sans toucher aux forêts existantes et en garantissant que plus de 85 % de notre parc soit toujours sur pied.

La mise en place de cette production forestière dans un secteur en crise permet aux acquéreurs et professionnels de la filière, d’anticiper leurs besoins futurs et de fixer un prix favorable sur des volumes importants en garantissant à Green Capital Invest la revente de sa production et le retour sur investissements. L’espèce choisie repousse instantanément pour un nouveau cycle de 5 ans.

Le programme prévoit sur site 10.000 m2 de zone résidentielle ainsi que des services de santé nécessaires mis à la disposition des employés.

En fonction de sa situation géographique, la ventilation des investissements permet aussi de dupliquer le modèle de santé pour en faire profiter les populations environnantes.

Un espace médical et une assurance santé adaptée permettront de garantir aux employés d’être traités immédiatement et de pouvoir être le cas échéant évacués en cas de nécessité vers des centres adaptés. Le bien-être du programme est traité au-delà du champ traditionnel, au travers de l’espace bien-être de la base de vie.

La base de vie  est capable de loger l’ensemble du personnel prévu 6 ans.

Une école aux méthodes innovantes ,adaptée à la culture locale permettra l’accès à l’instruction et des bases fondamentales ainsi que la promotion de l’indépendance de l’enfant.

Le modèle éducatif innovant s’inspire de modèles ayant fait leurs preuves au travers d’activités techniques et artistiques en adéquation avec le contexte naturel dans lequel s’inscrit le projet, combinées à des activités variées et de loisirs.

La diversité des activités et des champs techniques touchant l’agro-foresterie, le laboratoire, les réseaux et l’énergie, le transport et la construction, impose au programme la mise en place d’un centre de formation.

Celui-ci garantit aux employés une adaptation au programme, une connaissance pointue de leur activité et une pérennité de leurs emplois.

La sécurité du programme et sa bonne mise en oeuvre ne peuvent exclure une organisation protocolaire et une formation nécessaire pour la soutenir.

Le programme s’articule autour d’une stratégie majeure : l’auto-suffisance.

Les 6 ans de présence dans un contexte rural prévoient une production maraîchère variée permettant la production de légumes et de fruits.

GCI a prévu une redistribution de cette production aux populations locales ainsi que des formations aux habitants qui pourront leur permettre d’arriver à une maîtrise de productions nouvelles.

La production agro-forestière, son laboratoire de multiplication in vitro et les productions maraîchères nécessitent l’édification de 120 000 m2 de serres agricoles. Les différentes procédures de production multiplient les spécifications et technologies de nos serres agricoles.

Nous travaillons avec la société RICHEL. Nos serres permettent la récupération des eaux pluviales dans les citernes intégrées, une diversification des technologies d’arrosage et de refroidissement en fonction du pays et du climat dans lequel elles s’implantent.

La qualité mise en place par le groupe RICHEL et les réponses qui ont été données, permettent une sécurité optimale du projet.

La sécurité est la première mesure qui prime sur l’ensemble du programme. Cette mesure est celle qui est dédiée aux employés et qui supplante l’ensemble du programme et ses intérêts financiers.

Le protocole de travail mis en place par GCI est orienté dans son ensemble par notre capacité à protéger les personnes.

Dans une autre mesure la sécurité du programme, des forêts et des biens sont assurés par une technologie de pointe. Les équipes dédiés à la sécurité sous toutes ses formes sont solides et constituent une part importante du budget envisagé dans nos programmes.

Le programme pluridisciplinaire instauré par GCI permet non seulement de répondre à 14 objectifs du développement durable, il en va de même pour son aspect social et résidentiel.

Comment se nourrir, comme traiter ses déchets ou comment planter des arbres au XXIème siècle est un enjeu que GCI veut partager en s’attaquant au tourisme écologique en offrant au public le loisir de visiter, de vivre et d’apprendre non seulement du pays qui reçoit le projet mais à l’intérieur du projet en y faisant sa promotion.

À titre d’exemple, le programme prévoit de diminuer son empreinte carbone en diminuant le nombre de véhicule dédiés aux déplacements internes le long des plantations, et d’utiliser des chevaux qui pourront être un lien avec les écoles, les touristes pour des visites du site ainsi que pour des employés devant surveiller le site ; le programme prévoit beaucoup d’options allant dans ce sens.

GCI a institué un modèle économique qui permet de soulever des fonds en vue de réaliser des projets durables en édifiant des forêts et en préservant les forêts existantes tout en garantissant que l’espace arboré soit perpétuellement sur pied à 85 %.

Le programme industriel variable en fonction du pays et des marchés touchés constitue une plus value en terme de revente de bois transformé, d’apport en technologie et création d’emploi tout en ayant un impact majeur sur le climat et les températures sur la planète.

La capacité du projet à générer une division industrie sur un investissement annexe, permettra à GCI d’améliorer le modèle social en redistribuant une partie de ses productions, notamment le pellet issu de la transformation des déchets industriels.